SITL - Maritime Day le 7 avril matin

Ne manquez pas l’ouverture du Maritime Day par l’AUTF et Xeneta le jeudi 7 avril dès 9 heures 50 suivie de l’ intervention de Denis CHOUMERT, président de l’AUTF dans la conférence d’ouverture « Conteneurisation : quelles leçons tirer la pandémie ? ».

9 heures 50 : ouverture du Maritime Day

par Jean-Michel Garcia, Délégué aux transports internationaux à l’AUTF et Victor Beuzelin de Xeneta

10h00 – 11h00 : Conteneurisation : quelles leçons pouvons-nous tirer de la pandémie ?

La pandémie a entraîné de nombreuses perturbations dans les chaînes logistiques se traduisant par des congestions dans certains ports, des annulations d’escale, des difficultés d’évacuation des conteneurs depuis les terminaux, … Tous les opérateurs de cette chaîne logistique ont été confrontés à cette situation. Aujourd’hui, les effets de la pandémie s’estompent légèrement. Les leçons à tirer de ces évènements sont-ils de nature à imaginer ce que pourront être les fondements de la chaîne logistique maritime conteneurisée de demain. Devons-nous aussi attendre du conflit Ukraine/Russie de nouveaux effets sur la logistique ?

11h00 – 12h00 : La décarbonation du transport maritime : innover pour assurer une continuité de la chaîne logistique.

Après l’entrée en vigueur des règles de l’OMI le 1er janvier 2020, la décarbonation du transport maritime s’accélère. Les prochaines étapes de OMI 2030, OMI 2050 amènent les opérateurs de la chaîne logistique à se pencher sur les innovations pour le transport maritime. Les armateurs investissent dans la R&D, les commissionnaires et les chargeurs doivent prendre en compte l’empreinte carbone des transports. Et les ports devront jouer un rôle dans la fourniture des futurs carburants alternatifs. Des interactions qui nécessitent que tous les acteurs s’impliquent avec en filigrane le financement de ces infrastructures et de ces nouveaux paradigmes logistiques.

12h00 – 13h00 : Outre-Mer : les ports ultramarins souffrent-ils d’un déficit de services maritimes ?

Les liaisons entre les ports ultramarins français et la Métropole est aujourd’hui assuré par quelques lignes régulières. Il y a quelques années, des armateurs ont tenté une expérience au départ des ports de Métropole vers les îles des Caraïbes. Une tentative qui s’est soldée par un échec. Elles sont relativement peu nombreuses. Le marché des ports ultramarins pourrait-il accueillir de nouvelles lignes maritimes qu’il s’agisse de relations avec la Métropole, l’Europe voire l’Asie ou l’Amérique ? Quels types de lignes maritimes peuvent aujourd’hui trouver une place dans le marché (conventionnelles, roulier, …) ?

13h00 – 14h00 : La méditerranée orientale, un eldorado pour l’avenir ?

De la Turquie en passant par la Grèce, le Liban le secteur de la Méditerranée orientale connaît ces dernières années un dynamisme économique. Des liaisons depuis ces pays vers l’Europe de l’Ouest se mettent en place pour répondre à une demande croissante. Est-ce la traduction logistique d’un « near-shoring » qui se met en place ? Quels rôles les acteurs portuaires et maritimes locaux peuvent jouer face aux grands noms de la logistique portuaire ?